• UN AVION EFFECTUE UN PIQUE

    Richard Bach , écrivain auteur de Jonathan livingston le Goeland a Mercure sur ce degré et écrit, dans ce livre, de longs passages sur les piqués de Jonathan dans son apprentissage au vol vers de nouveaux horizons...

    http://www.astrotheme.fr/portraits/QBq4Cq378Uvq.htm 

    Ce degré confère à la planète qui l'occupe une aptitude supérieure à défier la nature et à jouer avec le danger. C'est toute la lutte de l'esprit contre la matière.

    Dans Jonathan c'est bien le défi de ce dépassement du monde physique qui est en jeu afin de parvenir à des sphères d'existence supérieure qui est en jeu.

    "Brisez vos limites, faites sauter les barrières de vos contraintes, mobilisez votre volonté, exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être. Découvrez ce que vous aimeriez faire et faites tout votre possible pour y parvenir.
    "Jonathan Livingston le goéland

     


    Citations de Richard Bach


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  • 1° à 5° GEMEAUX

    UN CARQUOIS PLEIN DE FLECHES


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  • 1° à 5° GEMEAUX

    DES OUVRIERS EN GREVE OCCUPENT LEUR USINE

    Louise Michel affirmera toute sa vie l'énergie de son  soleil à 7°44 des gémeaux en s'appuyant sur la force du degré 7 pour assurer l'objectif du degré 8 : 

    En effet au degré 7 "Un puits avec son seau et sa corde à l'ombre d'arbres majestueux " lui confère la foi primordiale en la vertu fortifiante de la vie avec laquelle elle cooperera énergiquement tout au long des épreuves sur son chemin pour au degré 8 s'affirmer contre l'effet destructeur qu'exerce l'ambition des pouvoirs politiques sur l'unité organique des êtres humains exprimé par
    " des ouvriers en grève qui occupent leur usine"
    http://happybirthdaysoleil.eklablog.com/les-gemeaux-nes-entre-le-26-mai-et-le-30-mai-c268744

    Un exemple tres interessant d'expression de ce degré est celui de Paul Deschanel , président de la République pendant quelques mois sous la troisième république et qui avait son ascendant et saturne conjoints sur ce degré , Homme qui n'a pas supporté l'exercice de cette fonction politique, tant physiquement que moralement  et qui en a démissioné ! La lecture de sa biographie est très intéressante pour comprendre l'importance de l'énergie de ce degré dans sa vie et dans l'ensemble du thème astral aussi ...Ca va de soi

    Biographie de Paul Deschanel

     

    Paul Deschanel, né le 13 février 1855 à Schaerbeek (Bruxelles) et mort le 28 avril 1922 à Paris, est un homme d'État français, dont la carrière culmina avec son mandat de président de la République française, du 18 février au 21 septembre 1920, sous la Troisième République.

    Paul Deschanel fut aussi homme de lettres et élu à l'Académie française le 18 mai 1899.

    Enfance
    Le coup d'État du 2 décembre 1851 condamne les Républicains, dont faisait partie Emile Deschanel, à l'exil en Belgique. Paul Deschanel devient dès sa naissance un symbole, la preuve que les idéaux Républicains survivent à l'exil. Il a Victor Hugo pour parrain spirituel. Edgar Quinet s'exclame : "Puisse-t-il voir bientôt la terre promise ! Nous le saluons comme l'espérance." Vénéré par son père, ce dernier croit entendre des références à la culture greque ou latine dans les babillements de son enfant.


    Scolarité
    En 1859, suite à l'amnistie de Napoléon III, la famille Deschanel revient à Paris. Ses professeurs considèrent Paul comme "intelligent mais bavard, agité et dissipé". L'enfant voue un véritable culte à ses parents malgré la sévérité et l'exigence de son père. Ce dernier déchire et renvoie les lettres de son fils dès qu'elles contiennent une faute d'orthographe. C'est en 4ème que Paul Deschanel change d'attitude : son parcours scolaire devient brillant, comme s'il avait accepté les leçons et les exigences de son père. Le 10 aout 1871, il obtient son baccalauréat de lettres puis très rapidement sa licence (le 4 novembre de la même année). Sa formation est donc au départ littéraire et il rédige en 1872 une comédie, un article sur Rabelais paru dans la revue Bleu, un autre sur Diderot et Edgar Quinet dans Le Journal des Débats.

    Sa carrière politique commence alors que les Républicains décident de nommer dans les provinces de nouveaux fonctionnaires pour éradiquer toute possibilité de crise politique. En 1877, Marcère, ministre de l'Intérieur, nomme de nouveaux sous-préfets : Deschanel en fait partie. Les premiers pas politiques du futur Président de la République se font donc sous l'influence majeure de son père.


    Mariage et enfants
    En 1901 il épouse Germaine Brice de Viel qui lui donnera 3 enfants : Renée-Antoinette (1902-1977), Jean (1904-1963, homme politique) et Louis-Paul (1909-1939, mort pour la France).


    L'Élysée en 1920
    Précédé par Paul Deschanel Suivi par
    Raymond Poincaré Président de la République française
    1920
    Alexandre Millerand

    Paul Deschanel est élu président de la république le 17 janvier 1920. Il reste dans l'Histoire pour les troubles mentaux qui le frappèrent durant son mandat, peut-être consécutifs à une grande fatigue émotionnelle, ou à une arrivée trop brutale au faîte de sa carrière.


    La chute hors du train
    Au cours d'un voyage en train à destination de Montbrison, le 23 mai 1920 vers 23 h 15, s'étant penché par la fenêtre de son compartiment alors qu'il éprouvait une sensation d'étouffement, Paul Deschanel chute accidentellement hors du wagon. Heureusement, le convoi circulait à ce moment-là à relativement faible allure (50 km/h) dans une zone de travaux à Mignerette (dans le Loiret, à une douzaine de kilomètres au nord-ouest de Montargis).

    Tout ensanglanté - en dépit du caractère bénin de ses blessures -, relativement hébété et vêtu de son seul pyjama, Paul Deschanel ne tarda pas à rencontrer André Radeau, ouvrier cheminot qui surveillait la zone de travaux, et auquel il se présente comme étant le président de la République. L'image des hommes publics étant à l'époque encore peu diffusée dans la population, le cheminot se montre sceptique – pensant à première vue avoir affaire à un ivrogne – mais conduit néanmoins le voyageur accidenté jusqu’à une maison de garde-barrière toute proche, où le blessé est soigné et mis au lit par ses sauveteurs. Le garde-barrière, Gustave Dariot, impressionné par la dignité du blessé et la cohérence de ses explications, part pendant ce temps prévenir la gendarmerie de Corbeilles. Pour la petite histoire, la femme du garde-barrière aurait dit à des journalistes : « J'avais bien vu que c'était un monsieur : il avait les pieds propres ! ». La lenteur des communications entre les divers échelons fait que, malgré les faibles distances, le sous-préfet de Montargis, M. Lesueur, n'est prévenu par télégramme que vers 5 heures du matin. L'incident commence à avoir un retentissement certain lorsque l'on s'aperçoit, avant l'arrivée du train en gare de Roanne, vers 7 heures du matin, que le président de la République a disparu du convoi. La suite présidentielle qui attend sur le quai de la gare et qui est menée par Théodore Steeg (1868-1950), alors ministre de l'Intérieur, ne reste pas longtemps sans nouvelles. Le contenu d'une dépêche, envoyée par la gare de Montargis à celle de Saint-Germain-des-Fossés (Allier), dépêche qui explique succinctement le déroulement des événements survenus dans la nuit, lui est rapidement transmis.

    L'incident donne évidemment lieu dans la presse de l'époque à de nombreuses caricatures, souvent cruelles, et inspire la verve des chansonniers. Tout le monde ne se laisse toutefois pas aller à broder de manière démesurée voire mensongère sur un incident certes curieux (et qui frappe les esprits en raison de la notoriété de sa victime). Un « riverain » des lieux de l'accident obtiendra ainsi, plusieurs décennies plus tard, que soit apposée une stèle commémorative très sobre de l'incident, sans aucun élément de caricature, à proximité du passage à niveau et de l'ancienne maison de garde-barrière où avait été conduit Paul Deschanel après sa chute.


    Autre incident
    Le 10 septembre 1920, il descend à l'aube se promener dans le parc du château de Rambouillet, à demi-vêtu, discute quelques instants avec un jardinier puis entre jusqu’à mi-corps dans un bassin. Ramené dans ses appartements, il semble n'avoir conscience de rien.


    Thèse sur la folie
    La chute du train semble être la conséquence d'une forme de somnambulisme causée par plusieurs facteurs (somnifère, chaleur du wagon, ...) mais également par l'ouverture particulière des fenêtres du train qui a permis le basculement du Président vers le dehors. Il semble en fait fort probable que le Président Deschanel était simplement très sensible aux médicaments.

    En revanche, les autres incidents (le président aurait signé Napoléon ou Vercingétorix certains documents et sa démission signée par sa femme), ne sont pas démontrés. Ces signatures se faisaient toujours devant témoin et il n'existe aucune trace administrative de ces dernières. Ils sont plus le fruit de médisance d'adversaires politiques.

    Paul Deschanel serait en fait victime de dépression et de surmenage prenant conscience qu'en tant que président de la République sous la IIIe République, il n'a que peu de pouvoirs. Ceux-ci étaient en effet concentrées dans les mains du président du Conseil. Il est plutôt sujet à une souffrance accentuée conduisant parfois à une hyperexpressivité et à une désintégration relative du Moi.

    Il était également sujet à des crises d'angoisse, liés notamment aux contraintes de sa Présidence. Il est constamment entouré de gardes du corps, éloigné de sa famille, reçoit plusieurs lettres de menace de mort à l'encontre de ses enfants, doit se prononcer sur une condamnation à mort (il y est farouchement opposé).

    On peut également supposer qu'il ressentait une culpabilité vis-à-vis de son père qui n'avait jamais atteint ses positions (Académie Française et Présidence de la République). Bien que Deschanel soit un homme passionné mais pas passionnel, la relation avec son père contribue fort probablement à « l'instabilité » du Président. À son décès, en 1922, Paul Deschanel exprime ainsi sa tristesse : « On commence à mourir le jour où on perd ses parents ».

    Deschanel n'est visiblement pas le Président fou que l'on croit. Si on détecte chez lui un désir de fuite dans le travail, une suroccupation, une angoisse de déplaire, ces éléments sont tous d'ordre névrotique mais ne peuvent être considérés comme maniaque. Il aspira longtemps à une carrière artistique (écrivain et comédien) et ses discours, tous fameux, trahissent un besoin de séduction et une inclination nette au théâtralisme, voir à l'histrionisme (attitude caractérisée par le besoin d'attirer l'attention sur soi et de séduire l'entourage).

    À noter que sa démission est la preuve d'un grand courage et d'une grande lucidité quant à ses aptitudes. S'il retarda cette décision, ce n'est que sous la pression de son entourage (le 21 septembre, le président Deschanel renouvelle son offre de démission présentée une première fois après l'incident du train, et sur laquelle Alexandre Millerand, président du Conseil, l'avait convaincu de revenir).

    Une fois "libéré" de la Présidence de la République, son état s'améliore très rapidement. Il est d'ailleurs élu sénateur d'Eure-et-Loir, le 9 janvier 1921, dès le premier tour, par 50,34 % des suffrages exprimés (360 voix).


    La fin de sa vie
    De retour au Sénat, il est élu à la présidence de la Commission des Affaires étrangères en janvier 1922, lorsque Raymond Poincaré, qui occupait le poste depuis son propre départ de la présidence de la République, est pressenti pour devenir président du Conseil.

    Victime d'une pleurésie, il s'éteint le 28 avril 1922.

    Paul Deschanel est enterré dans un caveau familial (où repose aussi son père Émile Deschanel, professeur au Collège de France) au cimetière du Montparnasse, dans la 14e division, en bordure de l'avenue du Nord. Sa tombe est à deux pas de celle du dessinateur, écrivain et cinéaste Roland Topor.


    Mandats électifs
    1885-1919 : député d'Eure-et-Loir. Il a voté le 3 juillet 1905 la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des églises et de l'état.
    Président de la Chambre des députés à deux reprises
    1921 : sénateur

    Bibliographie
    Thierry Billard, Paul Deschanel, Paris, Pierre Belfond, 1991.
    Nicolas Honecker, Les Voyages des Chefs d'État Français en Lorraine, Éditions Lacour, 2006.
    Jean Mélia, Deschanel, Paris, Éditions Plon-Nourrit, 1924.

     

    Source : Wikipedia
     

     


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  • 1° à 5° GEMEAUX

    UN PUIT AVEC SON SEAU ET SA CORDE A L OMBRE D ARBRES MAJESTUEUX

    Le soleil de Kylie Minogue éclaire ce degré

      

      

      

    Il s'agit de la foi primordiale en la vertu fortifiante et secrète de la vie .

      

    Ce degré contraste avec l'ambition qui pousse les humains "modernes" à rechercher puissance et argent.

      

    L'eau est un fluide vivifiant ; l'extraire du puit est un effort simple et naturel qui donne l'énergie juste


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